Quand la rosée s’éveille, Parée des premiers rayons, Les fleurs, en ardeur, s’étirent, Ravivées par l’espoir du nouveau jour.
Les oiseaux, dans le lointain, Tissent des notes de bonheur, Chantant aux quatre vents Les promesses d’un lendemain.
Ô nature! ô poésie! Dans tes bras je trouve refuge, Ton souffle est la mélodie Qui fait vibrer mon âme.
- Gustave Flaubert